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Le blog officiel satirique de abdoulaye wade
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Le blog officiel satirique de abdoulaye wade
19 janvier 2008

le bilan qui a reelu maitre wade

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Le Sénégal malade du système Wade
"Le président sénégalais, qui recevait le prix Houphouët-Boigny de la paix à Paris, se comporte, en fait, en autocrate multipliant les mesures arbitraires.
Où va le Sénégal ? Que le président soit le récipiendaire hier à l'UNESCO du prix Houphouët-Boigny pour la paix et voilà que ses adversaires menacent de manifester à Dakar, avant que le préfet de la ville les en empêche. Que d'autres promettent d'investir le siège de l'organisation à Paris, ou manifester sur la place du Trocadéro, et voici que le clan présidentiel déplace des
Centaines de ses partisans la plupart par avions entiers de Dakar.
En fait, le Sénégal est malade, victime d'un climat malsain où les coups tordus sont désormais les règles qui valent dans un pays où pourtant les responsables politiques étaient réputés être, il y a peu, d'une exceptionnelle civilité en Afrique. Mais ce n'est pas ce qui a provoqué la
Situation. À l'origine de celle-ci, un véritable système qui s'est mis en place depuis l'accession au pouvoir du président Abdoulaye Wade.
Le premier malheur du pays est venu de la mer. En septembre 2002, le Joola, ce fameux navire reliant Dakar à la Casamance, chavire dans l'Atlantique, aux larges de la Gambie. Le naufrage, le plus grave de l'histoire maritime, a fait près de 2 000 morts, sans que personne ne soit mis en cause. Une commission d'enquête technique, constituée peu après le drame, a pourtant pointé les fautes et les négligences dans l'exploitation du navire, géré par la marine nationale, comme dans le déclenchement des secours. Publié en novembre 2002, son rapport a officiellement été transmis au ministre de la Justice, « pour une saisine du procureur de la République », sans jamais qu'il y ait la moindre suite dans la procédure. En revanche, l'État a tout fait pour que les familles renoncent à toute demande de justice, les poussant à accepter une compensation financière. Et les ministres de la Défense et des Transports, dont les départements exerçaient une cotutelle sur le navire, remerciés au lendemain du drame, ont depuis été rappelés : le premier comme conseiller du président de la République, l'autre à la tête d'une grande entreprise de transports semi-publique.

Le limogeage en avril 2004 puis l'arrestation en juillet 2005 de l'ancien premier ministre Idrissa Seck ont alourdi la situation. Saisie par le gouvernement, à la suite d'un rapport commandité par le chef de l'État sur sa gestion d'un programme d'investissement engagé dans sa ville natale de Thiès, dont il est aussi le maire, la justice l'a d'abord inculpé d’atteinte à la sûreté de l'État et de détournement de deniers publics. Le premier grief paraissant visiblement trop fantaisiste, « Idy » n'a plus été soupçonné que du second, avant d'être libéré en

Février dernier après avoir obtenu un non-lieu partiel de la commission d'instruction de la Haute Cour de justice et s’apprête a été blanchi.

« Tout le monde sait que dans ce pays la corruption et le détournement de l'argent public sont une pratique largement partagée.

Même la presse n'est pas épargnée. Pour deux articles dont l'un révèle le contenu d'un rapport adressé au chef de l'État épinglant un ancien patron des douanes, Madiambal Digane, directeur du journal le Quotidien, a été détenu pendant plusieurs jours en juillet 2004. Pionnier de la presse privée au Sénégal, le groupe Sud Communication est lui aussi dans le collimateur du pouvoir, au

Prétexte de la diffusion d'un entretien avec un chef rebelle casamançais. Son réseau radiophonique a été fermé durant une demi-journée en janvier dernier et plusieurs de ses responsables mis en garde en vue au commissariat central de Dakar. Selon un avis largement partagé par les Sénégalais, l'origine de la colère gouvernementale se trouve dans deux livres parus dernièrement sous la signature d'un des journalistes vedettes du groupe. Le premier dresse un bilan désastreux de l'action du président Wade qu'il accuse de mégalomanie et de népotisme, le second, sorti en début d'année, accuse le président entre-temps blanchi par la justice, d'être le commanditaire de l'assassinat, en 1993, de l'ancien vice président du Conseil constitutionnel.

 

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Commentaires
D
je tiens a feliciter le president Wade poUR la mediation k il a eu a faire a l encontre de la G uinée.je voudrais par cette opportunité qui m est offerte,exprimer mon émotion et reitere que notre president a une vision noble en ce sens qu il doit etre supporté et soutenu dans ses actionS visant a promouvoir la paix dans le continent africain.
J
L'existence de ton blog (depuis combien d'années d'éjà????) montre que Wade est démocratique et offre une place importante à la liberté de parole.<br /> <br /> arretez de gacher l'image du pays à l'extérieur pour régler vos comptes ou chercher un certain intérêt cryptopersonnel.<br /> <br /> Réflechissez plus et écrivez moins de connerie!!!<br /> y'a d'autres moins d'avoir du succès, sans nuire à son pays aux yeux du monde.
F
allé jusqu'a traite a wade de diable je pense que c'est trop.neanmoins je pense que wade n'est pas le president qu'il nous fallait.
N
A qui la faute ?? wade ou les senegalais qui l'ont elu?
J
Il est bien ton site avec ton style journalistique. Wade est la preuve que les Sénégalais peuvent prendre pour un saint un homme qui est le "diable" (mais le diable n' existe pas, tout comme les saints). Ils n'ont qu'à généraliser avec les marabouts et le reste...<br /> <br /> Continues
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